Google et YouTube paient 30 millions de dollars – c'est ainsi que vous en profitez !
Google et YouTube paieront 30 millions de dollars dans le cadre d'un règlement suite à des violations de données impliquant du contenu pour enfants. Soumettez vos réclamations avant le 21 janvier 2026 !

Google et YouTube paient 30 millions de dollars – c'est ainsi que vous en profitez !
Le 2 novembre 2025, il a été annoncé que Google et YouTube avaient convenu d'un règlement de 30 millions de dollars pour mettre fin à un recours collectif. Ce procès accuse l'entreprise d'avoir violé les lois sur la vie privée des enfants en collectant des informations personnelles sur des enfants de moins de 13 ans sans le consentement de leurs parents alors qu'ils visionnaient du contenu destiné aux enfants sur YouTube. Selon dailyhodl.com, le règlement s'applique aux citoyens américains de moins de 13 ans qui ont visionné de telles vidéos entre le 1er juillet 2013 et le 1er avril 2020.
Dans le cadre du règlement, les représentants légaux des représentants du groupe pourraient recevoir jusqu'à 1 500 $ en récompenses pour services. Google nie avoir enfreint une quelconque loi, mais affirme que l'accord a été conclu pour éviter de nouvelles batailles juridiques. Les paiements aux membres du groupe seront distribués au prorata du nombre de réclamations valides déposées, après déduction des honoraires d'avocat, des dépenses et de l'administration.
Paiements et réclamations
Aucune preuve de visionnage des vidéos n'est requise pour les réclamations. Les montants exacts des paiements dépendent du nombre total de demandes soumises. Les personnes intéressées doivent soumettre leur réclamation en ligne ou par courrier avant le 21 janvier 2026. Une audience d'approbation finale est prévue le 13 janvier 2026 devant le Tribunal fédéral.
Cette action en règlement est le résultat direct d'un recours collectif déposé en 2019 en Californie concernant le traitement des données d'enfants en vertu de lois telles que la Children's Online Privacy Protection Act (COPPA). L'affaire met en lumière les inquiétudes persistantes concernant les pratiques de confidentialité des grandes entreprises technologiques et leurs responsabilités lors du traitement des données sensibles des utilisateurs.